– Near Death Expérience / N.D.E.

(Shoï)

Orléans (45) // Juin 1991 – 1999 // Hardcore noise puis ambiante.

  • 1995 : Jean-Luc « Jeantint » Jousse (chant et sample), Cyrille « Bounez » ( guitare, Brainwashers), Jacques Garnavault (basse), Laurent (batterie).
Affiche 40-59,6 imprimée / Archive : Emmetrop
Affiche 60-80 imprimée
Affiche 60-78 imprimée
Affiche 36-52 imprimée (Michel Rose)

– Les Kobolds

Archive : Punky

Orléans (45) // 1988 – 1997 // Rock

1988 – 1989 : Yann Bauchet (chant), Punky (guitare), Jano (basse), Mathieu « Tuesday » Viallefond (batterie), Laurent Bauchet (parolier).
1990 : Yann Bauchet (chant), Punky (guitare), Jano (basse), Luc (batterie), Laurent Bauchet (parolier).
1991 : Yann Bauchet (chant), Fab (guitare), Jano (basse), Yann (batterie et chant), Laurent Bauchet (parolier).

– The Mobile Hoovers

Orléans (45) // 1988 – 1990

Jeune groupe orléanais sorti de nulle part, seul le batteur s’était déjà fait remarquer quelques années auparavant avec un groupe punk prépubère, Infrarouge. The Mobile Hoovers s’impose comme un des meilleurs combos de la ville en quelques premières parties (La Souris Déglingués, Fleshtones ou Noir Désir avec qui ils sympathisent). Se  produisant tout d’abord sous le patronyme de Joe Fridge & The Mobile Hoovers (soit Joe Frigo et les Aspirateurs).

Source Remi New – Teenagers Electricques

– Forguette Mi Note

Affiche A3 photocopiée (Forguette)

Tours (37) // Avril 1987 – Juillet 1995 // Rock folk puis expérimental rock ambiante.

  • Avril 1987 : Faustine (chant), Claire Touzi dit Terzi (guitare), Julie Bonnie (violon), Sylvestre (contrebasse).
  • Septembre 1987 : Faustine (chant), Claire Touzi dit Terzi (guitare et chant), Julie Bonnie (violon et chant), Sylvestre (contrebasse, Dit Terzi), Alex (batterie).
  • Mars 1988 : Claire Touzi dit Terzi (guitare et chant, Dit Terzi), Julie Bonnie (violon et chant, Cornu), Sylvestre (contrebasse, Dit Terzi), Alex (batterie).
  • Décembre 1989 : Claire Touzi dit Terzi (guitare et chant, Dit Terzi), Julie Bonnie (violon et chant), Sylvestre (contrebasse), Ben Bernardi (batterie), Rod Chambaud (percus), Alfred (saxophone).
  • 1991 : Claire Touzi dit Terzi (guitare et chant), Julie Bonnie (violon et chant), Sylvestre (contrebasse), Ben Bernardi (batterie), Rod Chambaud (percus).
Affiche 40,5-59,5 imprimée

– The Nightbeats

Affiche 40,2-59 imprimée / Archive : Ptit Paumé

Tours (37) // Mai 1987 – 1989 // Rock 60’s.

  • : Alex (guitare et chant, Jungle room), Thierry Chassagne (basse), Dominique (batterie).
Trio originaire de Tours, The Nightbeats (Alexandre, Thierry et Dominique) allèrent enregistrer leur unique single chez Marc Sigrist au Chalet d'où le son impeccable et un rock nerveux agrémenté de touches powerpop, marque de fabrique du studio bordelais. A classer entre le Kid Pharaon et les Shifters…
Les Nightbeats participèrent également au premier concert de l'association Rock Garden de Nogent-le-Rotrou avec Mik Beetoven and The Magic Band de l'écurie Fu-Manchu (encore la bande du Chalet…).
Thierry Chassage, le bassiste du groupe, est devenu depuis le patron de Warner.
Rémi "Teenagers Electriques"
Affiche 40,1-59,6 imprimée / Archive : Ptit Paumé
Affiche A3 photocopiée / Archive : Ptit Paumé

– Les Imbibés

Affiche 41,8-64 sérigraphiée / Archive : Emmetrop

Blois (41) // 1987 – ? // Punk-rock.

  • : Jacques Garnavault (guitare et chant), Pascal (guitare, Toxïk), Philippe (basse, Toxïk), Franck (batterie).
  • 1988 : Daniel « Luche » (synthé)
Affiche 42-65 sérigraphiée
Affiche 46-65 sérigraphiée
Affiche 40,5-63,1 sérigraphiée / Archive : Ptit Paumé


« St Tropez »
K7 démo (Autoproduit) 1988
[ Titres de 1 à 4 enregistrés au studio « Le Chalet » en septembre 1988. Titres de 5 à 8 enregistrés en 1988. ]

  • St-Tropez / L’huissier / C’est pas facile tous les jours / Le mutant / Les pôts cassés / St Tropez / Unchain my heart / Les mercenaires
« Boule et mick »
K7 démo (Autoproduit) ?
        Boule et mick / Chantier reggae.

– Jo Karayan

juillet 1985 – décembre 1986

Benoit Bartoletti (alias Camille) : Chant / Guitare / Basse (« Important » , « Civils Radio »)
Laurent Boegler : Chant / Basse / Guitare (« Alerte » , « Les Héros »)
Brian Smith : Batterie (« Backdenkel » )

Jo Karayan, chainon manquant entre les Civils Radio et les Tontons Flingueurs.
Laurent Boegler, bassiste des TF. Camille (chant.guitare), Laurent Bourra (claviers), Mister Joe (saxophone(s)) et Brian Smith (batterie).

1er & 2 décembre 1985

Studio WW : A en crever – Week end week end – Bien trop belle – Romantiques – Le héros – La route m’appelle

20 mars 1986

TV live France 3 centre : Si tous les policiers – I can tell

19 avril 1986

Studio (75) : La fin de l’été – Ahmed
Le groupe continuera en trio (sans claviers et sans sax) sous le nom des Tontons Flingueurs à partir de l’automne 1986
 

– Noir et Blanc

Affiche A3 imprimée (LVC)

Châteauneuf-sur-Loire (45) // Juillet 1982 – 1988 // R’n’b

  • : Johnny (guitare et chant), Philippe (guitare et chant), Bruno (basse), Benoist (batterie), Claude (saxophone).

Biographie

A l’automne 1985, après le départ de leur bassiste,  Bebop change de nom et devient Noir & Blanc.

Le nouveau bassiste, Bruno Casali a un jeu très différent et le groupe prend plusieurs mois pour préparer un nouveau répertoire. Claude délaisse peu à peu l’harmonica pour passer progressivement au saxophone et Philippe est maintenant chanteur sur la moitié des titres et principalement guitariste soliste tandis que Johnny s’essaye aux claviers. Même les reprises évoluent allant du rock plus sixties que fifties (Beatles/Stones/Kinks) à des groupes plus contemporains (Pretenders/Jason & the Scorchers).

NoirEtBlanc

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En 1986, ils ouvrent au Zig Zag pour les City Kids mais font globalement moins de concerts que lors de la période Bebop. En septembre, ils enregistrent leur seul 45t « Jaloux de tes rêves »/ »Le Privé » qu’ils produisent et distribuent eux mêmes avec un résultat mitigé tant pour le résultat final (du entre autres à une gravure ratée) que pour les ventes. A cette période, le groupe se trouve même un manager originaire de la banlieue parisienne José Nieto qui ne sera pas très productif.

sept 1986 – Bresse sur Grosne (71) studio « A l’Ouest de la Grosne » – Johnny Pommier (guitare) – Philippe Georges (chant/guitare) – Bruno Casali (basse) – Benoist Lemarchand (batterie/choeurs) – Claude Domont (Saxo/choeurs) – Prise de son : Jacky Barbier, Michel Tricot,

https://youtu.be/ppKIJqWR91Y
https://youtu.be/NDBoLC2IRNs

Fin 86, le groupe se décide à embaucher un chanteur pour remplacer Philippe et Johnny qui se consacreraient à leurs instruments. Ils choisissent un jeune type de 20 ans, Pascal Gratet dont le registre vocal est plutôt inspiré d’… Étienne Daho. Là encore, de nombreux mois de répétitions pour adapter le répertoire au nouveau chanteur, très peu de concerts hormis une première partie des « Chihuahua » à Saran en 87 et une session d’enregistrement de 6 titres au tout nouveau Studio A7 à St Jean de la Ruelle.

En 1988, le groupe intègre un clavier à temps complet, Michel pour noyer tout cela dans des nappes de synthés. Il semble alors évident que Johnny, car c’est lui qui décide de tout à décidé de faire de Noir & Blanc un groupe de rock FM voire de variétés…

C’est Claude qui part le premier, à l’été 88, il vient de se marier et d’entrer à Air France comme steward, raisons suffisantes mais l’orientation musicale ne lui convient plus. Philippe le suit au même moment, après l’enregistrement de la dernière démo au studio A7, au moment ou Johnny rebaptise à nouveau le groupe, Noir & Blanc devenant « Rokmantik« ! Bruno partira peu de temps après, ne laissant plus que Benoist (passé à la batterie électronique…) auprès de Johnny de la formation originale, avec Pascal au chant, Michel Laurendeau au claviers et un nouveau bassiste Andreas Von Platen. Le projet « Rokmantik » tournera court assez rapidement, après quelques mois…

 Ce qu’ils sont devenus…
Après plusieurs tentatives pour entamer une carrière solo d’auteur compositeur interprète, Johnny s’est suicidé en 2004 (date incertaine ).
Philippe a rejoint les Kleps (de 1988 à 1991) et fondé les Good Old Boyz avec Steph Zisa et Long Tom, puis rejoint les Grifters de 1993 à 1999 (sans oublier un bref passage chez RIP en 1996/97). Après une douzaine d’années d’inactivité musicale (quelques concerts des Good Old Boyz quand même) il a reprit sa guitare à partir de fin 2012 sous le nom de Phil Twangy, souvent associé à son vieux complice, Long Tom.

Claude a été à l’origine du groupe « Blues Factory » dans les années 90 avec Benoist et son frère Fabrice. S’il a cédé sa place pour des raisons familiales et professionnelles, ils sort toujours son petit instrument pour le plaisir de tous à la moindre occasion. Je parle de son harmonica bien sur.
Benoist à joué, et joue toujours d’ailleurs avec Blues Factory, mais aussi avec « Stinger » et « les Garenn’s« .

Bruno a été le bassiste de « kamaloozoo » au début des 90’s avec Sylvain Leboucher du studio A7.

Michel Menegatti a brièvement joué avec Claude au tout début de « Blues Factory » mais n’a pas continué longtemps. Son frère Jean-Jacques n’a jamais donné de nouvelles.
Pascal Gratet n’a pas non plus rejoué dans un groupe par la suite.

Phil Twanguy Georges

Discographie

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Septembre 1986
Jaloux de tes Réves
  

– Les Réactors

Affiche A3 photocopiée / Archive : Ptit Paumé

Tours (37) // 1982 – ? //

  • 1982 : Jack Pote (guitare et chant)

– Disturb

Guiche, Bondiette, Tonio et Luche

Blois (41) // 1982 – 1986 // Punk-rock

  • Antoine « Tonio » (chant), Manu « Bondiette » (guitare), Daniel « Luche » (basse), Franck « Guiche » (batterie)

1982 : Blois, rive droite. (pas de groupe punk au sud de la Loire). Les jeunes lièvres prennent le vent de la plaine. Poussés par les radiations et les décibels distordus des futurs Kidnap, influencés par les mouvements « so british » ils trouvent une grange, posent leurs amplis, lâchent les freins et balancent la sauce (le poulailler est en face, la cave à vin en dessous).
1983 : Tonio (Antoine) rejoint les 3 copains d’enfance Luche (Daniel) à la basse, Biondette (Manu) à la guitare et Guiche (Frank) à la batterie. Ils étaient jeunes ils étaient fous. Ripost leur propose de participer a sa compile R001 avec le titre (prémonitoire) « toujours bosser ». Enregistrement à « l’oreille cassée » (symptôme courant) avec pour l’occasion, Fonfon (Kidnap) en 2eme guitare, toujours ok pour filer un coup de main (Même pour les vendanges).
1984 : Johnny Buendia, venu du nord de la plaine (18 rue de Normandie), tente la production et enregistre une répétition sur un Revox (les bandes magnétiques des James Bond). Elles ne se sont pas autodétruites.
1985 : Nouvel enregistrement à l’oreille cassée, « juste un espoir », « Klaus Barbie » et « Prison », sortis sur la compilation K7 « Cornettos pour dégonflés » chez Gogol Max Prod.
1986 : Trois ruades et une poignée de concerts plus tard (dont 2 dates avec Daily Terror), Tonio quitte le groupe faute de cordes vocales Point barre !

– D. Stop

Orléans (45) // Futur Visiteurs du Soir // Septembre 1981 – 1985 // Tekno punk

LE DUO TEKNO PUNK Dans les bas fonds d’ORLEANS il y a deux, trois ans maintenant; camouflés dans une cave de stupéfaction, les murs vieillis cachaient un corps nouveau. Quatre D.STOP envisageaient une poussée synthétique, aux émulsions programmées sur boite à rythmes, basée sur des influences de bon augure (Métal U, Warum Joe); avec en plus les atouts de leur recherche personnifiée. Il en ressort une musique qui progresse et qui progressera, parce-que D.STOP sont inventifs. il parait même qu’ils composent leur musique tout seuls, sans l’aide de leurs mamans (sans blagues !). Le mot punk dans ce cas est très significatif car il est synonyme d’évolution. Mot qui sans doute ne restera pas entre les pattes des nostalgiques de soixante-dix-sept, sous peine de rester cloué par terre, les pieds en l’air. En Juillet quatre-vingt-deux, trois D.STOP décidèrent de se débarrasser du quatrième à fin d’enregistrer le premier single « Traitement de choc » Titre trés impulsif disponible à nouveau dans les kiosques branchés. Les 2 titres en face B sont Biens. Fin Juillet quatre-vinqt-trois, deux D.STOP décidèrent de se débarrasser du troisième à fin d’enregistrer six titres à Paris en prévision d’un mini 33Tours qui est sorti à présent et qui se nomme « Nouvelles du front ». Donc en bref, Klod Lelook, Phil Lethon et Sonny Brailleur laissèrent la place à :Sonny Brailleur et Ross Darnell; cela nous donne donc un DUO TEKNO PUNK, du punk rock moderne. Attendons Juillet quatre-vingt-quatre, un D.STOP continuera peut-être tout seul ? (Attention système rigoureusement périodique) ! D.STOP possède une quinzaine de concerts, au minimum; deux interviews rrrradiophoniques au minimum: trois interviews publiés, au minimum (Nouvelles d’Orléans, Best et Inquiétude (pardi !) Et pour finir, La troisième place au Hit Parade des autoproductions et indépendants,avec « traitement de choc ». Voilà, maintenant vous savez tout. Passons au questionnaire, et…….sans faire de manières.

Inquiétude n°2

– No Pub

Vava, Denis, Eric et Fonfon

Blois (41) // Mai 1981 – Mai 1982 // Punk Oi

  • Denis (chant), Fonfon (guitare), Vava (basse), Eric (batterie)
Interview de Denis réalisé pour le fanzine No Government

Pourrais-tu nous faire un rapide historique du groupe ?
Moi je suis arrivé dans le groupe en mai 81, on a dû faire 2-3 concerts sur Blois, et à la rentrée on a enregistré les morceaux, à Tours, pour cette compil. En fait il y avait un autre groupe de prévu, D-STOP, mais ils se sont désistés et on a pris leur place.
On s’est séparés en mai 82, peu après la sortie de ce disque. En fait le groupe n’a pas existé longtemps, à peu près un an. Au chant il y avait moi, à la guitare il y avait Fonfon, qui a joué après avec KIDNAP, il y avait Valéry, dit Vava, à la basse, je n’ai jamais revu, et un batteur qui est encore sur Blois, qui est toujours dans la musique,
mais qui fait plutôt du jazz.

Pourquoi avez-vous arrêté le groupe ?
On devait faire un 45tours et il y a eu des problèmes de thune. Ça prouve bien que
ça ne tenait pas à grand-chose. On s’est séparés une semaine avant d’aller en studio, c’est pour ça qu’il n’y a aucun autre enregistrement de NO PUB à part les titres de « Apocalypse Chaos ».

Qu’est-ce que tu fais toi maintenant ?
Après NO PUB, je me suis occupé de RIPOST et je continue…
En musique je fais un peu de percussions avec d’autres types, mais c’est surtout pour s’éclater, ce n’est même pas semi-professionnel, on joue de temps en temps dans un lieu où il y a des ateliers mais on se produit rarement en public.

Est-ce que tu es encore en contact avec d’anciens membres de NO PUB ?
J’ai régulièrement des nouvelles de Fonfon, qui est sur Paris, et le batteur, comme il est toujours sur Blois, je le vois de temps en temps. On se rappelle le « bon vieux temps »…

Avec une seule armée d’existence, NO PUB n’a pas dû faire beaucoup de concerts ? Avec quels autres groupes avez-vous joué ?
Oh non, les concerts, ça n’a pas été loin !! Je sais que ma 1ère répète avec eux, ça devait être le 1er mai, et le soir on avait joué dans un sous-sol, tu vois le style du concert! Sinon, on a joué une fois à Lineuil, à la périphérie de Blois, et une fois au parc des expos, à la fête des motards. A Lineuil on avait joué avec LE CLUB DES CINQ, un groupe blésois qui venait de sortir un 45tours chez Virgin, ça s’appelait « Allô Josiane », c“était de la daube! Mais ils étaient assez barges, c’était rigolo, lls avaient renversé beaucoup de bière… Dans ce groupe il y avait un américain qui avait joué dans des groupes punks à San Francisco en 78 avant de se marier avec une française et d’atterir à Blois. Il a même fait des trucs plus barges après… Mais on répétait toutes les semaines ! Quand on a joué au parc des expos il y avait aussi KIDNAP et à peu près tous les groupes blésois. En fait pour la compil on a eu de la chance que D-STOP se désiste car ça ne faisait pas longtemps qu’on répétait, c’était vraiment l’occasion ! D’ailleurs il y en avait de KIDNAP qui faisaient la gueule, eux jouaient depuis 78 peut-être, nous on arrive et en 6 mois on fait des compile avec eux… Il y en a qui ont été un peu chauds, même si ça n”a pas duré longtemps. C’est vrai qu’ils assuraient bien plus que nous, c’était les grands frères de la scène locale. Même par rapport à DISTURB ou TOXIC, c’était quand même le niveau au-dessus.

Ton meilleur souvenir avec NO PUB ?
Je ne sais pas, sûrement tes répètes. On s’y est bien éclate.

Aviez-vous beaucoup d’autres morceaux en dehors de ceux qui étaient sur « Apocalypse Chaos » ?
Oui, quand même 10 ou 12 compos persos. Et quelques reprises, « Panik » de METAL URBAIN, tiens voila un bon souvenir pour moi ! On faisait aussi un morceau des HEARTBREAKERS et un de ANTI PASTI. Mais on avait nos propres compos, Fonfon était assez productif, c’est lui qui faisait les morceaux, des trucs simples, 2-3 accords et ça y allait… Le batteur était bon aussi. Le bassiste, il avait commencé 15 jours avant l’enregistrement !! Et ça allait, il faut croire qu’il était doué, il a dû continuer dans la musique, mais pas du tout dans le même style, c’est certain. Si tu veux, les autres étaient du même village. Fonfon était le plus branché punk, le batteur s’y était mis aussi, mais le bassiste ce n’était pas du tout son truc. Ce n’était pas le même délire mais ils étaient vachement amis, ils se connaissaient depuis tout petits. Je suis arrivé avec eux parce que j’étais en classe avec Fonton, on était les 2 punks de la classe! Et une fois, j’ai été a une répète, j’ai chanté, très mal, j’ai toujours très mal chante, et j’ai été « engagé ».

Et quel est ton pire souvenir ?
Peut-être les concerts. Parce que même dans un groupe punk, quand tu fais des concerts et que tu chantes complètement faux, c’est un peu chiant ! Je n’ai pas un super souvenir des concerts.

A ce propos, comment réagissait le public ?
ll y avait nos copains devant qui sautaient partout et les autres derrière qui se faisaient chier. Tu sais, les concerts punks, à Blois, ça n’intéressait que les 15 punks de Blois.

Et vos contacts avec les groupes de Orléans, est-ce que ça a été au-delà de la compil ?
Oui, de toute façon on les connaissait déjà un peu avant, moins bien que les mecs de KIDNAP c’est sûr, mais on avait déjà été à Orléans, on avait fait des fêtes ensemble, et on a continue a se voir. Quand on a commencé à organiser des concerts avec RIPOST, le tout 1er a été avec REICH ORGASM, c’était logique. On voyait plus les gens d’Orléans que ceux de Tours. Il y avait FOUTRE et d’autres gens branchés la-dedans a Tours, mais ce n’était pas la même mentalité.

Que penses-tu de la scène punk actuelle ?
Ça ne m’intéresse pas du tout. J’écoute parfois des trucs chez d’autres gens mais je n’irais pas m’acheter un disque. Pour moi, refaire la même chose 15 ans après, c’est de peu d’intérêt.

Avec le recul, que penses-tu des morceaux de NO PUB sur « Apocalypse
Chaos » ?
Je suis content d’avoir fait ce disque, c’est un bon souvenir. Pas un
chef d’œuvre de technique, mais ça correspondait a l’époque. Il y a un sacré moment que je ne l’ai pas écouté en fait. Ça m’arrive encore
quand je me fais de nouveaux amis, parce qu’au bout d’un moment je suis bien obligé de leur passer, mais sinon… C’est loin maintenant.

– Tiers Etats

Orléans (45) // 1981 – 1983 //

Ce trio orléanais produisait un "rock français" dans l'esprit de Bijou. Après quelques concerts dont le festival "Rock d'Orléans", ils enregistrèrent un single avec un son caverneux (pas forcément voulu). Michel Embareck de Best , venu faire un reportage sur le "rock d'Orléans" y décela l'esprit du garage punk us : "Leur rock, construit sur une rythmique en béton armé possède le son caractéristique de ces garage-gangs des mid-sixties…Lorsque j'ai abordé le sujet, les Tiers Etat m'ont regardé avec des yeux ronds confus de n'avoir jamais entendu parler de Count Five ou des Seeds. Leurs héros s'appelle tout simplement Bijou, Little Bob ou Téléphone…". Si bien que le groupe s'empressa de rajouter un tampon "garage band" sur le dos de la pochette. La meilleure face du single est la B avec un insrumental malicieusement baptisé "Aphone" qu'Embareck, décidément sous le charme, n'hésite pas à comparer aux meilleurs versions de "Pipeline". Nul doute que en redécouvrant ces titres en 2014 certains y trouveront un petit quelque chose de Nu Garage! Ce 45t, à tirage confidentiel, est désormais devenu un collector item, j'en ai vu un en mauvais état à 450 euros sur la toile !!


Remy T

Hell’s Stress

Fleury les Aubrais (45) // 1981 – 1982 //

  • : François (chant), Bruno (guitare), Hakim (guitare), Serge (basse), Franck (batterie).
hellsStress_affiche

Concerts

??.02.1981 au Hara de la Pépinière
11.02.1981 Orléans « Salle du Baron »
??.06.1981 Brest
??.??.1981 Malesherbes
02.12.1981 Olivet « le Zig Zag »
22.01.1982 Saint Jean de la Ruelle ‘Salle des Fêtes »
02.06.1982 Orléans « Salle du Baron »

Videos

http://youtu.be/rzUnqZwoRbE
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– 555.9

Orléans (45) // 1981 – 1982 // punk-rock

[ Groupe punk éphémère d’Orléans, quelques concerts dont « Olivet punk »  aux côtés de Radiation, Reich Orgasm et Komintern Sect. Le groupe s’arrête avec la disparition du second guitariste recherché par la police pour désertion ]

– Pilhulle

1982 : Bruno Pivard et Philippe Pivard (Photo de Francis B.)

Tours (37) // 1981 – 1982 // Punk

  • : Claude (chant), Olivier (guitare), Philippe Pivard (basse), Bruno Pivard (batterie)

– Skunx Offensive

Orléans (45) // 1981 – ? // Punk-rock.

  • : Fred (chant), Steph (guitare), Astrid (basse), Olivier (batterie).

Formé en 1981, composé de Fred au chant, Steph à la guitare, Astrid à la basse et Olivier à la batterie.
Par miracle une de leur répète à était enregistré par Jérôme un punk qui était aux beaux arts d’Orléans.
Par la suite, le groupe changea de nom au profit de Legend, puis For A Legend et finalement Mold.
Ils joueront à Paris à la Locomotive et un clip passera sur Boulev’hard sur m6 entre Soundgarden et Alice In Chains en 1992.
Depuis Astrid son compagnon et Steph évolue dans le milieu des arts plastiques et écoute toujours beaucoup de musique.

– Bollocks

1980 : Jean-Bat, Jean-Jacques et NeuNeuil (photo Bruno Villoteau)

Tours (37) // 1980 – 1981 // Punk

  • Jean-Bat (chant), Jean-Jacques, NeuNeuil.

– Foutre

Affiche 40-60 imprimée

Tours (37) // 1979 – 198? // Punk-rock

Acte I Le Foute 1er Mouture 1979 et quart venait de sonner à l’horloge de la place Jean Jaures et comme d’habitude pour un vendredi soir nous avions le choix entre 3 possibilités : aller à un concert de Gérard Blanchard dans une cave perdue de Vouvray ou d’ailleurs, écouter Jagu et nounours au bar de la bibliothèque, enfilant de longues litanies de solos interminables ou finir comme d’habitude au commissariat dans une cellule de dégrisement dans l’attente que Bec d’aigle veuille bien nous laisser ressortir.

J’oubliais une quatrième possibilité : dépenser notre argent au bar du longchamp où nous pouvions voir Tambourine dans son falzar en peau de rideaux, battre le record du monde du plus long vidage de vessie et écouter les zicos de Tours discutant des avantages du mode mixolydien tout en s’appelant le good ou bien la star ou bien encore je ne sais quoi, petite réplique d’un Keith Richard de préfecture. En un mot comme en mille on se faisait chier ……. et puis ça nous ait tombé dessus comme une prime du pôle emploi pour la chandeleur, un raz de marée, une bombe à ultrasons : le Mouvement punk arrive les gars. Eux qui avaient réussi à nous persuader que pour faire de la musique il fallait 10 ans d’études et que d’ailleurs valait mieux laisser ça aux pros ( ce qu’ils affirment toujours ), des petits rosbifs nous prouvaient que l’on pouvait faire du rock avec un doigt et un accord.Respiration, création, réunion, révolte, vite, vite et après un voyage à Londres c’était décidé : fallait qu’ça bouge.Dans toute cette bande de théoriciens du fa Bémol du sphincter de regarde comme j’suis beau quand je joue de la guitare, il y avait un ancien tambour de la musique militaire, devenu batteur et pas des moindres, Michel bruneau c’était son nom. Un vrai petit bouledogue adepte du coup de boule et du reste. C’était parti : Fred Limouzin à la basse, Michel à la batterie, Jean-chris à la guitare, restait à trouver un chanteur. Ce qui fut fait en la personne de jean-yves, le frère du guitariste.Fallait Maintenant un lieu. Jacques Béchy (qui a bien voulu arrêter le frisbee ), nous a offert le gîte et le son, avant de devenir et pour toujours le 5eme élément, l’ingé son. Quatre morceaux plus tard commencent les concerts ( suffisait de jouer 3 fois les quatre morceaux pour faire 3 passages), le golf Drouot ( une des dernières soirée chez leproux). Les collègues que l’on découvre : PP Novo ( Doc Pilot) et surtout les fans qui deviennent des potes : Laurent et son cassette dans une main et caisse de Jeanlain dans l’autre. Les Pivards (Attention les secousses ), Bruno Laroche le garde du corps , Jean-bat toujours présent, Yann, Benoît, François rampant sur scène costumé en Hitler, Bruno ( de rock and Road Production ), François mon futur ex beau frère et… tous ceux que j’oublie.Premier coup D’arrêt à la maison du même nom pour le guitariste,( une histoire qui ne vaudrait maintenant qu’une garde à vue de 2 heures et encore !!! ).Enchaînement, Fred décide de quitter le groupe pour aller en suisse faire l’électron libre et accélérant trop fort dans un virage plante sa DS dans un ravin. Restant 2 jours coincé sous le toit de sa caisse avant d’être secouru, il ne peut lutter contre la gangrène qui s’est installé dans son corps, et tire sa révérence lors de la troisième opération. Lors de l’enterrement nous suivions le cercueil Bruno et moi lorsque qu’un vélomoteur nous double :  » c’est bien la 1er fois que fred se fait doubler par une meule  » balance Bruno. crise de rire…. Nerveux. Et puis ça continu, Michel, en pleine déprime se gave de médocs mais son corps fragile rend les armes et nous les larmes. Droite Gauche, Jean-yves et moi sommes KO. Mais nous n’étions pas seul. Nous avions l’impression que le groupe existait toujours alors il fallait bien trouver de nouvelles énergies. Et après quelques tâtonnements et quelques essais :Fayot à la basse, Daniel Jamet ( La mano ) nous donnant un coup de paluche, Claude Prioux dit Claudius à la batterie, maintenant décédé lui aussi malheureusement, Pascal Gouyé à la batterie, courant tout nu dans les rues de Paris pour échapper à un patron d’hôtel énervé et finissant à Saint-Anne, nous allions enfin trouver la stabilité pour former la deuxième mouture.Acte II Le Foute 2eme Mouturece fut la période la plus longue de Foutre : de 82 à 86 et aussi la plus féconde. La plus connue aussi:Bruno Pivard à la batterie ( attention les secousses) , digne élève de Michel et jouant sur sa batterie que j’avais récupéré. Bunny à la basse que nous avions emprunté à Raticide et bien sur les frangins Pineau. Et Jacques Béchy Toujours au son.Avec cette fois de temps en temps un agent tel Daniel l’escargot Thognard , qui nous avais dit merci au lieu de bonjour lors de notre première rencontre. Toujours Laurent, notre mémoire vivante et notre fournisseur officiel de Jeanlain et un public de plus en plus fournit et fidèle. Il y eu de grands moments, comme cette tournée mondiale de la rue du commerce: le Balto, le moulin du Longchamps.

Le concert à l’Amphi avec les béruriers Noirs

Avec les Oberkampf ,et d’autres encore.

Et puis comme tout à une fin, Foutre aussi a eu la sienne, je me rappelle c’était au moment ou Fernandez marquait son penalty contre le Brésil , qualifiant la France pour les demi-finales de la coupe du monde de foot au Mexique. Nous avions refusé une date pour être devant nos écrans. Une fin à la mesure de notre innocence ( ou de notre connerie ). Dans ces années là Foutre a été assez présent pour devenir pour beaucoup de tourangeaux un repère dans leur jeunesse. C’est peut-être ce qui explique que 30 ans après on en parle encore et que ce disque est attendue avec beaucoup de Joie et d’impatience.

– Suzanne et les Handicapés

1980 : Jean-Marc D., Filoche, Francis B. et Laurent J. (photo de Laurent J.)

Tours (37) // 1978 – 1981 // Punk-rock

  • : Francis B. (chant), Laurent J. (guitare), Régis (basse), Jean-Marie Corroie (batterie).
  • : Francis B. (chant), Laurent J. (guitare), Jean-Marc D. (basse), Filoche (batterie).

– Hémorroïde

Orléans (45) // 1978 – 1980 // Punk-rock

  • : Patrice Riff (guitare), Philippe Furet (guitare), Georges Asselineau « p’tit Jojo » – Chant (Magixmen, Meb),M’tito – Basse, Terrache – Synthé, Toto – Batterie

Hémorroïde : Un problème pour beaucoup, mais aussi un groupe orléanais en 1979. Line-up : Philippe Furet (guitare) Georges Asselineau (chant), M’tito (basse) Terrache (synthé) et Toto (batterie). Les 3 derniers n’ont pas continué dans la musique, par contre, Phil, après un court passage dans Reich Orgasm fondera Minitrip puis Phil Trip. Quant à Georges, dit P’tit Jojo, il sera 15 ans plus tard le premier chanteur des Magixmen, (futurs MEB) avec Monseigneur (guitare, ex Prospectors), Moun (basse) et Sam (batterie). Hémorroïde a entre partagé l’affiche au Théâtre d’Orléans avec Important, futurs Civils Radio.

Philippe Furet

– Important

Orléans (45) // 1978 – 1979

  • : Benoit « Camille » Bartoletti : Basse/chant, Philippe Générali (alias Gégène : batterie) Laurent Claisse/Caroll Claisse : Guitare

Important : Groupe fondateur qui a débuté en 1978 (voire fin 77). Important a splitté fin 79 quand Laurent Claisse est parti sur Paris. Camille et Gégène forment alors les Civils avec Gérard Daufin à la basse, Camille devenant alors guitariste et accompagné de Jean-Pierre Triquet, harmoniciste de grand talent, membre fondateur de La Souris Déglinguée. Prévus pour assurer la première partie des Dogs au Baron le 10 janvier 80, Camille refile le plan à son pote Laurent et à son groupe « Alerte », les Civils n’étant pas encore prêts.
« J’me rappelle, j’étais en terminale, j’avais 17 ans et pas de permis. On étaient super excités car fans des Dogs, alors faire leur 1ere partie !
On a séché les cours et un pote plus âgé nous a amenés avec notre matos de Rambouillet à Orléans. »
Pas d’autres infos sur Important (pour l’instant) si ce n’est qu’ils ont enregistré une démo en 1979 avec 4/5 titres dont Adèle II, dans une version supérieure (selon Laurent) de celle des Civils Radio.

Laurent Boegler

– Reich Orgasm

Orléans (45) // Janvier 1978 – 1985 // Punk-rock

  • 1978 : José (chant), Eric Mazout (guitare), Serge Mirador (basse), Vandem (batterie).
  • 1980 : José (chant), Patrice Riff (guitare), Eric Mazout (basse), Vandem (batterie).
  • 1982 : José (chant), Patrice Riff (guitare), Fabien (basse), Vandem (batterie).

C’est sur la charogne des Sex Pistols que se forme Reich Orgasm au début de l’année 1978 sous l’impulsion d’Eric Mazout.  Le groupe fait ses premiers faits d’armes avec des performances chaotiques plus que des concerts.
En I979 ils consternent le public orléanais en leur infligeant un concert plus axé sur la violence des textes que sur la conception intellectuelle d’une musique rétrograde.
En I98O C’est avec l’arrivée de Riff tout droit sorti d’Hémorroïde (poésie…) que le groupe va vraiment commencer à composer. L’émergence d’un nouveau public favorise la reconnaissance de leur style, notamment dans une série de concerts dont certains sont restés dans les annales (théâtre d’Orléans avec Hémorroïde, au Mille Club, à Vierzon, à la FAC d’Orléans et pour finir l’année dans le garage des parents de Riff avec Extranase (futur Komintern Sect)).
Premier enregistrement pour une démo comprenant les titres : Ethylique, Fiancée, Né pour baiser et Salope.
En 81 après une période d’interrogation et de refus de la new wave variété, ils repartent de plus belle avec des concerts au côté des Komintern Sect & Radiation (futur Kidnap). Devant le néant des labels punk, l’idée de se prendre en main commence à germer.
1982 aurait pu marquer la fin du groupe avec le service militaire pour trois d’entre eux. Mais au contraire c’est l’année du sacre avec pour commencer l’enregistrement au studio « L’Oreille Cassée » de quatre titres (dont « Si j’avais un marteau » qui reste aujourd’hui inédit) puis le « Rock d’Orléans » à la salle du Baron.  A cette occasion un clip sera réalisé par FR3 sur le titre Ethylique au bar Le Germinal (repaire de toute la faune orléanaise) suivi du « Orléans Punk » à  Olivet « Ils ne sont pas nombreux mais ils cassent comme beaucoup ». Même le départ d’Eric Mazout immédiatement remplacé par Fabien ne devait plus les arrêter. Festival punk à Blois et enfin sortie de la première réalisation de Chaos Productions « Apocalypse chaos » (avec Komintern Sect, Kidnap et No Pub).
Et ce fut 1983, année ponctuée par « Salope » sur « Chaos en France – volume 1 ».
Le peu d’entrain des organisateurs de concert effrayés par leur réputation de « groupe à problème », conduit la formation à se contenter d’exister uniquement par leurs nouvelles compositions et l’enregistrement au studio WW de ce qui allait donner l’unique album du groupe.
1984 c’est l’année de la consécration avec la sortie de l’album sur Chaos Productions, des concerts au centre Léo Lagrange, au « Zig-Zag » (avec les Barracudas), à la salle Dupré à Blois (Ripost) et à Loudéac (avec les Collabos), mais aussi la compilation « Chaos en France – Volume 2 » et pour finir
l’année en couille le bien nommé « Chaos festival » qui fut à la fois la consécration du label orléanais et son épitaphe. Le groupe se retrouve en décalage complet avec une partie du public, il décide de se séparer. C’est la fin d’une période.
1985, une apparition sur la dernière compilation « Chaos in Europe » avec le titre « Supporter ». Lors de l’enregistrement au studio W.W, le groupe rend son dernier souffle.
Euthanasie

Alain Moisan

Tours (37) // 1978 – ?

  • Alain Moisan (guitare), François Jagut (guitare), Bertrand Maillot (batterie), Christian Gentet (contrebasse), François Couturier (piano), Jean-Jacques Rulhmann (saxophone, clarinette et flute).
  • 1979 : Alain Moisan (guitare), François Ferrari (basse), Léo Monnin (basse), Jean-François Bouchet d’Angély (batterie), Francisco Pernias (piano et claviers), Aimé Elbaz (saxophone)

– Avalanche

197? // Tours (37)

Avalanche à l’hôtel de ville de Tours / 1977 : Bertrand Jean Laurence (guitare), Didier Boutet (batterie), Philippe Cartier (chant), John (guitare), et Jean-Marie Coron (basse). // Archive : Bruno Cavedo
  • : John « Southern John » Molet (guitare Calibre 12), Bertrand Jean Laurence (guitare), Didier Boutet (batterie), Philippe Cartier (chant), et Jean-Marie Coron (basse Calibre 12)

Avril 77, juste 20 ans et PTT à Paris depuis 1 mois….ce qui a mis un coup de frein au groupe, Bertrand s’envolant pour les USA peu après, John venant d’avoir sa fille, Didier Boutet concentré sur ses études de droit pour devenir maître de conférence à la fac de Tours…

Jean-Marie Coron

– Acier / Radiation / Kidnap

Affiche 42-60 sérigraphiée

Blois (41) // 1977 – 1979 // Punk-rock

  • 1977 : Hugues (chant), Chicol (guitare), Mireille (basse), Aldo (batterie).
  • 1978 : Hugues (chant), Chicol (guitare), Fabrice (basse), Aldo (batterie).
  • 1979 : Frédo (chant), Chicol (guitare), Fabrice (basse), Aldo (batterie).
  • 1983 : Frédo (chant), Chicol (guitare), Fonfon (guitare), Fabrice (basse), Aldo (batterie).
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Minitrip

Orléans (45) //

Videos<

Photo à Dater

<a href=\ »http://lesvieuxcons.fr/wp-content/uploads/1983/10/MiniTrip_Toury.jpg\ » target=\ »_blank\ » rel=\ »noopener noreferrer\ »><img class=\ »alignnone wp-image-11976\ » src=\ »http://lesvieuxcons.fr/wp-content/uploads/1983/10/MiniTrip_Toury.jpg\ » alt=\ »MiniTrip_Toury\ » width=\ »399\ » height=\ »250\ » /></a>

Minitrip à Toury ?

© François Heyler

<p>En studio<br /><a href=\"http://lesvieuxcons.fr/wp-content/uploads/1983/10/Mintrip_Studio.jpg\" target=\"_blank\" rel=\"noopener noreferrer\"><img class=\"alignnone wp-image-16874 size-medium\" src=\"http://lesvieuxcons.fr/wp-content/uploads/1983/10/Mintrip_Studio-162x250.jpg\" alt=\"Mintrip_Studio\" width=\"162\" height=\"250\" /></a><br />Brève reformation de Minitrip en 1990</p>"

– Ezekiel

// Tours (37) //

Affiche 67,2-102 imprimée / Archive : Shoi

1995 : Brigitte (chant), Florent (guitare), Joan (guitare), Yann (basse), Matthieu (batterie).

Affiche 68-98 imprimée
Affiche A3 photocopiée / Archive : Oreille est Hardie
Affiche 65,7-102,2 imprimée / Archive : Shoi
Affiche 49,5-67,9 imprimée / Archive : Shoi
Affiche 68,3-99,7 imprimée / Archive : Shoi
Affiche 68,3-99,8 imprimée / Archive : Shoi
Affiche 44,9-64 imprimée / Archive : Rico
Affiche 68,3-100 imprimée / Archive : Shoi
Affiche 66,2-102 imprimée / Archive : Oreille est Hardie

– Cornu

Tours (37) // Chanson rock.

  • : Julie Bonnie (violon et chant, solo), Ben Bernardi (batterie), Alex Bonnie (basse), Rod Chambaud (percus).
  • : Julie Bonnie (violon et chant), Ben Bernardi (batterie), Alex Bonnie (basse).
« Remixed with incomparable taste & perception by Kid Loco »
Maxi (Island – 572 259 1) 1998   Je suis fière (mes fesses) (belleville live skank mix) Youpi (space spaghetti mix) / Les lutins (je n’ai pas voulu) (belleville black coffee)
« Kid Loco presents Jesus life for children under 12 inches »
Compilation double LP (Yellow productions – YP 050) 1999
        Youpi (space spaghetti mix par Kid Loco).
« S/T »
K7 (Autoproduit) 1996
        Youpi / Mon visage est découvert / Bonnet orange / Je n’ai pas voulu.
« Portobello amigos »
CD Portobello bones (Forked tongues / Pandémonium) 1997
        State of shock (de The Ex, avec Portobello bones).
« S/T »
CD (Island – 572 176-2, 2500 exemplaires) 1997
CD (Island, pochette différente, 2500 exemplaires) 1997
        J’ai besoin de tes mains / Le bar / Le bar (popeye peyote stylee mix).
« S/T »
CD (Island – 524 469 2) 1998
        Accompagné / Pour vous retrouver un de ces jours / Lisa / J’ai besoin de tes mains / Le bar / Je suis fière (mes fesses) / La magie / Je lève la tête / Youpi / J’aime ma vie / Piercing / Les lutins (je n’ai pas voulu).
« Remixed with incomparable taste & perception by Kid Loco »
CDm (Island – 4531, promo) 1998
        Je suis fière (mes fesses) (belleville live skank mix) / Youpi (space spaghetti mix) / Les lutins (je n’ai pas voulu) (belleville black coffee).
« A 3 »
CD (Island) Avril 2000
        Dans le bruit / Si je sais pas quoi faire de mes dix doigts / Bla bla / Des roses / Que cet amour / Mes amis / J’aimerais bien savoir / Les vacances / Tranquille / J’ai un père, une mère / J’ai peur de tout / Tes yeux / Mark est mort.