Compilation LP (Danger Records – DR-008) février 2016\
Continuer la lecture de Danger : La France à peurÉtiquette : Nicolas Cruel
– « 1970 – 1995. 25 ans de rock à Tours »
Compilation CD (Goéland Production – SG 0595H) 1995
Continuer la lecture de – « 1970 – 1995. 25 ans de rock à Tours »– « Live vol.I »
– « Rock Hardi n°6 »
– « Rock à Tours » 16/12/83
Avec Kekko Bravo, Bocal 5, Nicolas Cruel et Réactors
+ Le Pym’s au 170, avenue Grammont à Tours (37000)
Organisation : Chippie – 50 frs
Continuer la lecture de – « Rock à Tours » 16/12/83– « Tours coté avenue / coté rue »
Compilation LP (Chipie – KO/831105) décembre 1983
Continuer la lecture de – « Tours coté avenue / coté rue »– 31/03/83 – Nicolas Cruel
– « Transmusicales » – 15/12/82
Avec : Trotskids, Gaston et Marcel, Nicolas Cruel, l’Ombre Jaune, Tango Luger, Nurse, Le Mur
Rennes (35)
– 07/10/82 – Nicolas Cruel et Dogs
+ Salle des Tanneurs (Thélème) au 3, rue des tanneurs à Tours (37000)
Organisation : Castafiore Production – 45 frs
Continuer la lecture de – 07/10/82 – Nicolas Cruel et Dogs– « Rock Hebdo n°14 vol.2 »
– « Festival » 08/06/78
Avec : Bijou, Ganafoul, Bracos Band et Nicolas Cruel
+ Salle Cerdan, rue Amiral Courbet à Brest (29)
300 personnes
Malgré un affichage exceptionnellement copieux, le Rock d'ici, mini-festival regroupant quatre formations échelonnées de huit heures du soir à une heure du matin, n'avait guère attire plus de trois cents personnes, qui, disséminées dans la Salle Cerdan, immense gymnase reconverti pour l'occasion, ne formaient pas un public particulièrement encourageant par sa cohésion. Le premier groupe à se lancer à l'eau fut Nicolas Cruel, formation brestoise qui, après un ans de rodage, a atteint un niveau technique plus que satisfaisant. Chemises hawaïennes, skaï noir et polyamide violet ne suffisent pas à décrire ce groupe plein d'énergie qui attira vite les trois quarts de la salle devant la scène, grâce e un chanteur au jeu hystérique, a d'excellents musiciens et a un rock particulièrement solide. Lors du passage de Bracos Band, qui remplaça Nicolas Cruel, |'excitation tomba d'un ton tant le style racoleur du groupe déplut au public. Il est en effet peu agréable d'entendre le groupe menacer de quitter la scène si les gens ne crient pas plus fort. Bracos Band a tendance à se prendre un peu trop tôt pour des stars. Ganafoul heureusement n'eut pas de difficultés à capter de nouveau l'attention du public grâce à son blues extrêmement personnel. Ganafoul ne pratique pas de jeu de scène spectaculaire et leur seule intervention auprès du public fut pour nous présenter leur nouveau batteur. La salle était donc chaude à point pour apprécier le rock des croque-morts, à savoir Bijou, toujours fidèle a ses deux couleurs fétiches et qui joua avec une batterie très en avant la quasi-totalité de son dernier album "OK Carole" plus quelques titres de "Danse avec Moi" en rappels. Palmer semblait se défouler sur scène de siècles de brimades, sautillant de manière volontairement (espérons) ridicule, tournant sur lui-même comme une toupie et parcourant la scène en long, en large et en travers derrière sa guitare. Bien que debout depuis six heures, le public trouva encore la force d'exprimer violemment sa hargne de voir Bijou s’en aller après le troisième rappel qui clôtura un excellent concert dont le seul défaut fut l'acoustique déplorable de la salle qui rendait les vocaux absolument inaudibles. Rock Hebdo n°14 vol.2