– « Ultime 80 : Spécial rock français »

Double CD (Virgin – 07243 811042 2-4) septembre 2001

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– « 40 ans de rock français »

Quadruple CD (F.G.L. / Remedy records – REM 201008, longbox avec livret de 4 pages) janvier 2000
Quadruple CD (F.G.L. / Remedy records – REM 201008, longbox avec livret de 12 pages) ?

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– « 40 ans de rock français »

Compilation CD (F.G.L. / Remedy records – REM 201009) janvier 2000

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– « Killed by death 200 – Rare punque français ’77 – ’83 »

Compilation LP (Pirate / Killed by death – KBD 200, Allemagne, 1000 exemplaires avec insert) 1997

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– « Rock en stock vol 1 – Anthologie du rock français des années 80 »

Compilation CD (WMD / Fnac – 662095) 1992

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– « Les 30 plus grand succès du punk »

Compilation double LP (Skydog – SKY 2228 – SKY 2229, pochette ouvrable) 1987
CD (Skydog – 62228-2) 1992

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– « Rock festival » – 14/07/79

Avec : O.T.H. Equivoc, Cocktail, Cap Horn, Killdozer, Good Time Charley Band, les Dogs, Au Bonheur des Dames, Little Bob Story, Bijou, Starshooter et Jacques Higelin

+ Théâtre Antique d’Orange (84)

– « New Wave French Connection 1978 » – 29/07/78

Affiche

Avec : Au Bonheur des Dames, Bijou, Cimaron, Electric Callas, Ganafoul, Little Bob Story, Marie et les Garçons, Rock Pile, Nick Law (Lowe) et Dave Edmunds, Starshooter, Téléphone, Burdon (?)

+ Théâtre Antique de Fourvière à Lyon (69)

50 frs

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– « Festival » 08/06/78

Avec : Bijou, Ganafoul, Bracos Band et Nicolas Cruel

+ Salle Cerdan, rue Amiral Courbet à Brest (29)

300 personnes

Malgré un affichage exceptionnellement copieux, le Rock d'ici, mini-festival regroupant quatre formations échelonnées de huit heures du soir à une heure du matin, n'avait guère attire plus de trois cents personnes, qui, disséminées dans la Salle Cerdan, immense gymnase reconverti pour l'occasion, ne formaient pas un public particulièrement encourageant par sa cohésion. Le premier groupe à se lancer à l'eau fut Nicolas Cruel, formation brestoise qui, après un ans de rodage, a atteint un niveau technique plus que satisfaisant. Chemises hawaïennes, skaï noir et polyamide violet ne suffisent pas à décrire ce groupe plein d'énergie qui attira vite les trois quarts de la salle devant la scène, grâce e un chanteur au jeu hystérique, a d'excellents musiciens et a un rock particulièrement solide. Lors du passage de Bracos Band, qui remplaça Nicolas Cruel, |'excitation tomba d'un ton tant le style racoleur du groupe déplut au public. Il est en effet peu agréable d'entendre le groupe menacer de quitter la scène si les gens ne crient pas plus fort. Bracos Band a tendance à se prendre un peu trop tôt pour des stars. Ganafoul heureusement n'eut pas de difficultés à capter de nouveau l'attention du public grâce à son blues extrêmement personnel. Ganafoul ne pratique pas de jeu de scène spectaculaire et leur seule intervention auprès du public fut pour nous présenter leur nouveau batteur. La salle était donc chaude à point pour apprécier le rock des croque-morts, à savoir Bijou, toujours fidèle a ses deux couleurs fétiches et qui joua avec une batterie très en avant la quasi-totalité de son dernier album "OK Carole" plus quelques titres de "Danse avec Moi" en rappels. Palmer semblait se défouler sur scène de siècles de brimades, sautillant de manière volontairement (espérons) ridicule, tournant sur lui-même comme une toupie et parcourant la scène en long, en large et en travers derrière sa guitare. Bien que debout depuis six heures, le public trouva encore la force d'exprimer violemment sa hargne de voir Bijou s’en aller après le troisième rappel qui clôtura un excellent concert dont le seul défaut fut l'acoustique déplorable de la salle qui rendait les vocaux absolument inaudibles.

Rock Hebdo n°14 vol.2

– « Rock Festival » – 06/08/77

Affiche 44-58 imprimée (Philippe Ricard)

Avec : Brakaman, Lou’s, Shakin’Street, Marie et les Garçons, Tyla Gang, Little Bob Story, Bijou, Eddie and the Hot Rods, Dr Feelgood

+ Les Arènes de Mont-de-Marsan (40)

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– « Rock-festival » – 08/07/77

Affiche / Archive : Pascal Pilote

Avec : Lou’s, Bijou, Totem, Stilettos, Contrôle, Réverbère, Strychnine, Shakin’Street, Rockin’Rebels et Garez vous en Epis

+ Parc des expositions de La Rochelle (17)

35 / 40 frs

– 25/04/77 – Bijou et Tyla Gang (UK)

+ Palais des glaces au 37 faubourg du temple à Paris (75010)

Organisation : Skydog

Le soir, début d’un « Festival Punk » qui durera trois jours, organise par Skydog au Palais des Glaces. Les Stranglers annoncés ne sont pas venus. Ils sont remplacés a la dernière minute par Bijou, trois petits rockers qui veulent faire bouger la scène, Palmer, Philippe et Dynamite. Ils se sont rencontrés en banlieue sud où ils ont toujours habité. Avant de monter sur une scène, ils ont répété pendant plus d’un an, de façon a être parfaitement au point. C’est un groupe « sérieux » dont toutes les autres formations punks, adeptes de la spontanéité, se moquent, a cause de ce désir de «  bien jouer » que des gosses de 17 ans ne peuvent comprendre. Ces trois gars sont sincères et authentiques. Il croient au rock’n roll et ne vivent que par lui. Une musique qui, si elle est impeccable, n’en est pas moins personnelle et qui fait plus penser a Feelgood qu’aux Pistols. Des mecs impulsifs, vivants, parfois fantasques. Beaucoup de compositions personnelles La fille du Père Noël, Danse avec moi, Marie-France, composée pour celle que tout le monde admire, dont tout le monde rêve. Sa blonde chevelure, ses yeux de biche, son corps de star les ont inspirés. Ils ont également tourné un film avec elle qui sortira bientôt sur les écrans parisiens. Ils reprennent une chanson de Dutronc, ainsi qu’un titre de Ronnie Byrd, et ils refont sur scène avec plaisir les grands classiques du rock, Lucille, Little Queenie, Johnny B.Good ou Great Balls of Fire. Pour le rappel, Jean-William Thoury, le manager du groupe, vient jouer de l’harmonica et chanter avec eux. Le public du Palais des Glaces leur accorde un franc succès, bien qu’il soit venu pour les Stranglers. Bijou réussit ta les faire swinguer comme d’habitude. Ensuite, Tyla Gang. Le répertoire du groupe a pas mal changé. Ils ne jouent plus Teenage Head des Flamin’ Groovies qui avait eu du succès à l’Olympia, lorsqu’ils avaient fait la première partie de Lou Reed. Ils ne reprennent plus Knockin’on Heaven’s Door de Bob Dylan. Ils ont de nouvelles compositions personnelles : Texas Chainsaw Massacre (sorti sur Stiff), qui n’a rien a voir avec le morceau des Ramones qui porte le même titre. C’est un rock bien carré qui file à cent à l’heure, comme la pulsation d’une scie électrique. Imaginez une famille de zombies habitant une maison isolée dans la campagne américaine et un bus Volkswagen de hippies qui s’arrête là par hasard. La nuit, des formes monstrueuses, cadavériques, sortent armées d'une tronçonneuse et se précipitent en hurlant sur nos hippies. Imaginez ça transposé en rock et vous aurez une vision de ce qu’est Tyla Gang sur scène. Quand va-t-on se décider à sortir cet extraordinaire film d’horreur de Tobe Hooper en France ? En rappel, Tyla Gang joue les deux morceaux de son 45 tours paru chez Skydog, Suicide Jockey, rythme syncopé du jockey chevauchant un tigre, casaque noire à tête de mort, et Cannons of the Boogie Night. Avec toi je veux danser toute la nuit dans Londres désert, nous irons boire une bière à Knightsbridge. Après le concert, Marc nous invite à dîner au « Cossard », un restaurant des Halles. Il y a tous les gens qui tournent autour de Skydog : Jasques, Bruno, Pierre, Christophe et Capta qui ce soir était roady. On pense a Pierrot qui est en tôle en ce moment, mais heureusement plus pour longtemps.

Alain Pacadis « Un jeune homme chic »
Continuer la lecture de – 25/04/77 – Bijou et Tyla Gang (UK)

– 02/02/77

Avec : Asphalt Jungle, Vince Taylor (UK), the Bastards, Bijou et Boogaloo Band

Asphalt Jungle

+ Le Gibus au 18, rue du Faubourg du Temple à Paris (75011)

Vers minuit, pour me changer les idées, je vais au Gibus. C’est la rentrée d’Asphalte Jungle, le groupe de Patrick Eudeline. Toute la scène punk parisienne est rassemblée et applaudit la musique de Patrick, déluge de sons overdosés qui, souvent, n’ont plus rien a voir avec la musique. Après Asphalt, quatre autres groupes se succéderont dans la nuit sur le même matériel, jusqu’à six heures du matin. D’abord Vince Taylor, qui chante des rock très rythmés assis sur un tabouret au milieu de la scène : un spectacle assez imposant. Puis The Bastards, un groupe de banlieue avec un son carré et stonien. Bijou, du bon rock français de Ronnie Bird a Little Richard, en passant par Dutronc et, en fin de soirée, Boogaloo Band qui se lance dans un blues interminable qui vide la salle.

Alain Pacadis « Un jeune homme chic »