22/12/01 – Les Excités, Brigitte Bop

Briare (45)

Après quelques changements de musiciens, Les Excités ont quand même décidé de jeter l’éponge. Dommage, car la dernière formation carbure à mort. Ce soir, c’était donc le 1er des 3 concerts d’adieu des Compagnons du Putain de punk dans ta gueule. Car Les Excités, c’est du punk, du vrai, du pur, à la Exploited. C’est speed, c’est dur et ça fait du bien. No future jusqu’au bout des textes, toujours percutants et bien écrits. Des riffs simplistes joués sur le fil du rasoir. Le genre de groupe qui aurait pu jouer en Bretagne tous les soirs de la semaine. Bref, ce dernier concert de l’année s’annoncait … punk ! On a joué l’ordre de passage à pile ou face (on a gagné) puis au bras de fer (on a perdu … que dites-je, on s’est fait ridiculisé par le représentant des Excités (en fait un pote de Richard, le bassiste-chanteur) qui avait pourtant du mal à garder le yeux ouverts. C’est donc Les Excités qui ont ouvert le bal devant un public clairsemé. Et oui, froid + fin de mois + cadeaux de Noël + Briare (joli petit port de pêche pourtant !), ça en a refroidi plus d’un. Tant pis pour eux ! Parce que, putain, c’était bien ! Je ne vais pas en faire des tonnes, c’était une heure de pur punk avec des touches hivy Metaul et Richard qui hurle sa rage. C’est beau et ça donne des frissons !!! Un petit coup de Marseillaise pour finir et l’affaire est dans le sac. On prend la place doucement. Ce soir, c’est sérieux, on a 2 nouveaux morceaux. Vu qu’on les a fait 15 fois pendant les balances, les personnes présentes à ce moment chantent avec nous. Ca fait toujours plaisir. Les 2 passent bien. On va les garder. On fait aussi un peu les guignols avec le chapeau rouge à ponpon de Richard. Pas cool pour le head-banging, le ponpon dans l’oeil, ça fait mal ! Je ne recommencerais pas ! Pour marquer le coup, on balance aussi un « Excités, Excités, Excités oi, oi ! » de circonstance et le peu de public présent braille en coeur ! On termine avec un Couleurs Sur Paris spécial pour Richard, grand fan d’Oberkampf. On s’embrasse et on se tripote comme des gamines. Un peu émus, pas mal crevés et en tout cas super contents d’être ensemble. Les keufs arrivent juste pour vérifier qu’on a pas dépasser l’horaire. Faut dire que c’est moins risqué de venir faire chier les (très) sympathiques proprios du rade que d’aller voir si il y a une Rave an campagne, ce qui est le cas régulièrement dans le coin. Et voilà, après ça, comme d’hab’, on range le matos, on se souhaite de bonnes fêtes. On a beau être punk, on a quand même des familles et le sens des vraies valeurs catholiques !!! Joyeux Noël et see you l’année prochaine, alligator !!! Et vive le Rock !!!

Extrait du site Brigitte Bop

25/11/01 – Brigitte Bop, Jackie and the Cedrics

+ Le Zig-Zag / Zig au 108, avenue du Loiret à Olivet (45160)

Le lendemain, ça se passe au Zig, un discothèque qui fait aussi des concert. Une belle salle, bien refaite avec des putains de lights et une bonne sono (merci JP). Pour infos, il y a quand même les Bérurier Noir, les Meteors et Gildas Harzel qui ont joué ici. C’est pas rien !! C’est Jean-Luc Jostone qui fait tourné ce groupe de surf-music japonais et qui nous gentiment proposé la 1ère partie. C’est un autre Jean-Luc qui organise (c’est compliqué le rock à Orléans) et qui sait y faire : Nuts, bière, pinard et rillettes en backstage. Je me demande si on va pas demandé ça à chaque fois maintenant. Un seul hic, le concert est à 17 H et le créneau n’est pas encore dans les moeurs orléanaise. Même Beûn DDD, ce gros lâche, a oublié de venir ! Bref, on a joué devant une trentaine de personnes et il faut bien avoué qu’on les connaissait presque tous. Je ne vous les citerais pas, mais on a les noms. On a balancé un set court mais intense. On a fait les cons, on a bien rigolé. Ambiance décontractée. Anciens et nouveaux morceaux, quelques reprises désormais classiques : Les Rats, qui a bien plu à Saïd DDD et les Clash, qui a bien plu aux sympathiques japonais. On a tout filmé et enregistré et promis, on vous fera partager tout ça bientôt. Pour ce qui est de Jackie and the Cedrics, ils nous ont balancé un sacré set . D’abord, ils sont super sympas. Et puis, ils sont vachement bien habillés : costard 60’s et neud pap’, un vrai dessin de Margerin. Musicalement, c’est surf-rocknroll-rockabilly-twist, mélangeant des classiques (Tequila, Pulp fiction, Let’s dance, Oh Boy …) et des compos 100 % surf. Les dégueulis de Telecaster s’enchaînent aux roulements de tom bass et à divers cris d’animaux ! Hey ça twist ! Ca saute partout, ça grimpe sur les retours, ça se jette dans le public et ça se roule par terre. Quelques belles chorégraphies aussi. Bref, un bon moment de rock n’ roll et bien que 100 % hommes du soleil levant, ils causent bien la France (Hum, ça va ? Ca va bien ? Vous voulez dansez ? Hi, hi, hi) et présentent les morceaux. Un sens de la communication que pas mal de groupes français ne pratiquent plus. En conclusion, un horaire difficile et encore inhabituel. Une fois de plus, c’est Drucker qui a gagné. C’est bien dommage. Pourtant, à 22 heures, on était rentré au bercail pour Culture Pub … et plus si affinités.

Extrait du site Brigitte Bop

– 24/11/01 – Les Nez Rouges et Brigitte Bop

Mouzay (37)

Voilà ce que j’appelle un bon petit week-end ! Deux concerts alors que 3 semaines avant, on avait encore rien de prévu, c’est cool !! Le 1er nous a été proposé par les Nez rouges par mel interposé. Viva el world wide pogo ! On a donc pris tranquillos la direction de Loches en plein milieu de cet après-midi et on s’est cogné plus de 150 bornes dans le brouillard, au doux son d’Oxymoron et de vieilles K7 punk oi 70’s de Gob. Calme et volupté. On est évidemment arrivé avec pas mal de retard, mettant ainsi fin au calvaire des organisateurs qui n’y croyaient plus. Comme d’hab’, papotage, montage de matos, balance et saucisse-lentilles. Ce sont les sympathiques Nez rouges qui ont ouvert le bal devant la quarantaine de personnes qui avait bravé le climat hostile de la Touraine hivernale. On a eu droit à une petite heure de pur rock alternatif, au sens le plus noble du terme : déguisement, humour, auto-dérision, chant en français revendicatif mais sans prise de tête, solo de violon, comptines et poing levé. Ca rapelle, les Garçons bouchers (surtout le violon), les Ludwig et bien sûr les Bérus. Bref, du bon qui deviendra excellent quand ils accepteront de faire des morceaux de moins de 7 minutes. On a pris la suite devant un public nettement plus clairesemé. Faut dire qu’il y avait pas mal d’ados boutonneux locaux qui sont rentrés chez eux après s’être émancipé dans le pogo des Nez rouges. Maman est sympa mais papa ne veut pas que je rentre après 22 H. On a quand même joué pas loin d’une heure et demi. On a même refait « La Jeunesse » sur demande pressante d’Antoine mais on a pas poussé jusqu’à « la Rumba du commissariat ». On a péter des cordes, mais ça c’est pas très original. On a fini sur une sacrée volée de reprises, pour la plus grande joie de « Crête rouge » et de quelques autres : Oberkampf, Rats, Clash, LSD … Après ça, retour version Nuit et brouillard mais avec une arrivée plus agréable : au lit avec les oreilles qui sifflent, une haleine clopes/Kro/coca abominable et des images de salles de bar paumées au fin-fond de la cambrousse, de pogo et de punks à chien. Soirée rajeunissante.

Extrait du site Brigitte Bop

– « Rockomotives » – 03/11/01

Avec : De Kift (NL), Blasco Ballrom, Bosco, Robots in Disguise, Superheroes, M. Ward, Losoul, Sonic Crew et Magnetic Recordings

Vendôme (41)

Organisation : Service culture ville de Vendôme

Affiche 57,3-87 imprimée (Figures Libres)

– 01/11/01 – Brigitte Bop et la Ruda Salska

+ L’Astrolabe, boulevard Jean Jaurès à Orléans (45000)

Ha putain, y’avait longtemps qu’on avait pas joué, et ben on a pas été déçu ! Bonne salle, bon son, bonne organisation (à ce propos, merci à Punky (le Vrai) et ses amis : il y avait des Milky Way dans les loges, ces gens-là savent recevoir), et une salle pleine à craquer. Et c’est là que ça se complique … Déjà, les préventes achetées à la FNAC et à l’Office de tourisme, on n’a pas trop l’habitude. Ensuite, le public assis dans la salle avant le concert et pas en train de papoter au bar devant une bière, ça cachait quelque chose. Et le résultat ne s’est pas fait attendre. Pourtant, on a tout essayé pour les faire réagir : les blagues stupides, les faux solos, les chorégraphies ridiculo-hardrockiennes, les reprises de Renaud, parler en anglais, rigoler, faire les énervés, chanter, brailler, bref, tout … pour RIEN. Une apathie quasi-générale à l’exception d’une cinquantaine d’excités discéminés dans la salle au mileu de 550 cadavres qui nous ont regardé pendant une heure, sans bouger, sans sourire, sans parler. Je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé de gueuler « Que vive le rock libre » devant une jeunesse amorphe qui vous regarde comme si vous étiez un poste de télévision, moi si, c’était jeudi soir et je peux vous dire que ça fait … je ne sais pas, c’est indescriptible. Enfin voilà, on a tout donné, ils n’ont rien pris. Par la suite, ils ont quand même agité les bras en l’air comme leur demandait le chanteur de la Ruda. Un moyen de vérifier s’ils sont tous pubères avec du poil sous les bras peut-être ?!? En tout cas, messieurs de la Ruda Salska, votre public, vous pouvez le garder. Moi, je vais aller me payer une retraite complémentaire par capitalisation et dimanche, je vais aller causer de tout ça avec Blutch, ça va me faire du bien. Pour finir sur une note de gaieté, voici un petit florilège de propos entendus durant notre concert :

– Mais qu’est-ce qu’ils font ? Arrêtez. C’est pas du ska (une jeune fille visiblement bien informée)

– Alors ils viennent de Toulouse ? C’est bizarre, ils ont pas trop l’accent (Il faut avouer que nos potes les dahus-garous sont venus nous voir et qu’on leur a dit « bonjour les toulousains » quand ils sont arrivés)

– Il a l’air content le guitariste, il sourit (Une fan de Marilyn Manson, des Nashville Pussy, de Michel Sardou, de Popeck : entourez la bonne solution)

– Dis donc, il est costaud le bassiste (c’est vrai)

– Beeeeuuuaaarrrrrggggh (un jeune homme juste devant la scène. Il avait reniflé une capsule de Kronenbourg).

– Oui, du Nutella (une jeune fille évanouie à qui Punky demandait si elle avait mangé)

– Désolé, on vous a fait rater Pop-Stars (Bastos qui commençait à être un peu irrité par cette jeunesse complètement Universalisée)

– Vous qui aimez le ska, demain, il y a Carlos à Sandillon (Bastos pas encore énervé)

– Alors, elle vous plaît la salle des fêtes de mon boss ? (Charles dans l’après-midi)

– Bérurier Noir !!! (un inconnu à la fin de « que vive le rock libre ». Merci à toi)

Enfin, tout cela n’est pas très grave. On s’est quand même bien amusé sur scène, on a été interviewé par Radio Chrétien Fréquence et on a mangé des Milky way. Enfin, JP a enregistré le concert. Si ça pète, on vous le met en MP3, comme d’hab’.

Extrait du site Brigitte Bop

– 21/06/01 – Brigitte Bop et Garage Lopez

+ Le Carreau des Halles à Orléans (45)

Pour une fois que l’été arrive à la date prévue, ça tombe bien, la patronne du Carreau des Halles avait prévu le coup et nous avait demandé de jouer devant son bar avec un groupe de notre choix. Résultat, notre 10ème concert avec les Garage Lopez et une fois de plus, ça l’a fait ! Il y a un truc qui m’a toujours étonné chez les Lopez, c’est que bien que ce soit des vrais putain de rockers … ils arrivent toujours à l’heure, et ça c’est bizarre. Même si tout le monde s’en fout, moi, ça m’épate et j’avais envie de le dire. Par contre Yann, lui, c’est pas trop son truc. Il est quand même arrivé avec tout le matos avant qu’on se fasse péter la gueule par le public déjà nombreux et visiblement an manque de rock n’ roll. Qu’à celà ne tienne, on installe tout et les banlieusards attaquent avec la finesse qui les caractérise : Blitzkrieg Bop à fond. Ils se font un peu piquer la vedette par une blondasse raide def’ en maillot de bain qui fait des siennes mais ils récupèrent l’attention du public avec quelque blagues bien senties et surtout avec leur punk rock énergique (c’est comme ça qu’ils disent dans Rock Sound). Ils nous laissent ensuite la place. A ce moment-là, la blondasse sus-nommée est complètement à poil. C’est vrai qu’il fait chaud ! Elle sera rapidement évacuée par la Croix Rouge qui a dû la ramener à la piscine. Le public est constituer de vieux potes, de jeunes punks-rockers locaux, de vieux rockers et de pleins d’autres personnes qu’on ne connait pas. Le set a des petits airs de boulangerie vu le nombre important de pains, la palme revenant à Yann mais ça le fait rire car les Lopez, qui ont l’ouïe plus développée que le QI, saluent chacune de ses plantes. On essaie de rattraper la faiblesse de la technique par des blagues et des discours anti-Grouard (c’est notre nouveau Maire de droite) et ça passe. La rue est remplie, le pogo raisonnable et l’ambiance est rock n’ roll. Après un Cochran Blues à rallonge, c’est à nouveau aux Garage de répandre la bonne parole avec pas mal de vieux morceaux. Le public est un peu plus claisemé mais de plus en plus réceptif (saoul ?) à la musik de nos petits camarades. On a donc droit à la totale : la reprise de Subway, La compagnie créole, Jean Shulteiss et Coluche. Le public est définitivement conquis une fois de plus. Ils peuvent aller boire des bières la conscience tranquille. Pour notre part, on retourne sur la scène sans vraiment savoir ce qu’on va jouer. En gros, dès qu’il y en a un qui se souvient d’un titre de morceau, on le joue. On en profite pour placer quelques reprises pour les anciens : LSD, Oberkampf et autre Clash, comme ça tout le monde est content. Non content d’avoir instauré un couvre-feu pour les enfants, notre sympathique jeune maire RPR avait décidé que la fête de la musique finirait à 1 h du mat’. On a donc jouer jusqu’à 1 h 10, juste pour pouvoir dire qu’on a dépassé et aussi pour arrêter après le podium Pernod-play back du bout de la rue ! Qui c’est les punks là-dedans, bordel ?!? Après ça, bah, comm d’hab’, on a rangé le matos et on est rentré chacun chez soi. Rendez-vous la prochaine fois, pour le meilleur et le pire !

Extrait du site Brigitte Bop

31/05/01 – Défi’stival – Cité Rock

Avec Delabrosse, La Tordue, Les Ogres de Barback, Bamba Mussxam, Baco, I Jah Man, Bass massive : Courts toujours, Ten Dubians, K’ptain Planet, DJ Willy Man, UHT°, Apocalypse 45, Catrice Crew, Radykal Lyrix, Syndicat de la rime, La Baraka, Tilt, Lost reason, Backside, Def Daf

Parc de Charbonnière – Saint Jean de Braye (45)

Defi

– 10/02/01 – Garage Lopez et Brigitte Bop

Bar La Marmite à Preuilly

C’est la 2ème fois qu’on commence l’année par un concert avec les Stalag Loupèch, ça ne va pas tarder à devenir un rituel. Cette fois-ci, le rendez-vous était organisé à La Marmite, fameux bar-concert du Berry. Ce qui est bien à la Marmite, c’est que moins il y a de public et plus on s’amuse. C’est un peu comme une répète mais avec des lights et qulques potes. En l’occurrence, sur la vingtaine de personnes présentes, il ne devait pas y avoir plus de 3 ou 4 têtes inconnues. L’autre intérêt de La Marmite, c’est la bouffe. On a eu droit à une belle poule au pot juste avant de jouer, ce qui n’a pas empêché les Lopez de nous faire un bon concert (juste après le café, pour ma part j’aurais vraiment eu du mal). Quelques nouveaux morceaux qui respirent la joie de vivre et le sur-endettement, quelques tubes immortels (la piscine, Elvis …) et une reprise des Beatles, le tout enrobé (c’est le mot) d’un Bruno au top de sa forme. Il faut dire qu’il vient de s’offrir une belle guitare le gars Bruno, la même que le guitariste des Ramones et ça tombe bien, il ne fait pas beaucoup plus d’accord que lui. On a donc bien rigolé de les voir faire les singes devant … pas grand monde. Ensuite, bah il a bien fallu qu’on y aille aussi. On a donc joué pour nos potes. Le seul fait marquant, c’est qu’on a fait un nouveau morceau qu’on avait à peine réussi à finir en répèt’ et qu’il est passé comme une lettre à la Poste. Ca s’appelle Pas de quoi rigoler.  (vieux proverbe chinois) On a ensuite fait une petite pause et quand on est retourné sur scène pour quelques reprises, on ne savait pas dans quoi on s’engageait. En effet, Bruno et son nouveau jouet sont venus avec nous, puis Henri a remplacé David à la batterie, puis Jean-Luc a pris la place de Yann pendant qu’on continuait à brailler avec Gob. Au total, ça a duré de minuit à 4 heures du mat’ sans arrêt et on a joué, dans le désordre : les Clash, Chaussettes Noires, Eddy Mitchell, Wampas, Reich Orgasm, Trotskids, Lio, Téléphone, Police, Eddy Cochran, Elvis Presley, Carl Perkins, Vince Taylor, Ramones, Supersuckers, Cure, Sonics, OTH, Parabellum, Garage Lopez, , Oberkampf, Infraktion, Johnny Halliday, Nancy Sinatra, Rolling Stones, LSD et j’en oublie sûrement. A la fin, il n’y avait plus que la patronne pour nous supporter à coup de tournées gratuites, les autres étant partis ou somnolents dans un coin du bar. Bref, on a passé une bonne soirée entre nous, on a pas dérangé grand monde et surtout on est prêt à remettre ça le plus vite possible, alors si vous aussi vous avez une Marmite dans laquelle on peut faire du rock n’ roll jusqu’à pas d’heure, appelez-nous, on signe quand vous voulez ! Et le lendemain … tout va bien !!!

Extrait du site Brigitte Bop